Palaeo-Indian Settlement Patterns Associated with the Strandline of Glacial Lake Algonquin in Southcentral Ontario

Journal Article
Canadian Journal of Archaeology/Journal canadien d'archéologie 6:001-031 (1982)

Abstract

In Southcentral Ontario, Early and Late Palaeo-Indian peoples occupied the strandline of Glacial Lake Algonquin, with which they may have been contemporaneous, as well as older, abandoned strandlines elsewhere. While the Georgian Bay region and the eastern Simcoe Lowlands were both intensively occupied by early Palaeo-Indians, the settlement patterns in the two regions appear to have been different. The two sites known in the former region may have served as base camps from which the entire region was exploited; in contrast, the occupation of the eastern margin of the Simcoe Lowlands appears to have been much more diffuse, as indicated by more numerous but smaller sites. Archaeological work along the Algonquin strandline has probably revealed only a portion of the total settlement pattern, and there is a need to focus survey work on other landforms in different areas to discover the full range of sites used during the seasonal round.

Résumé

Dans la région centrale du sud de l'Ontario, des autochtones du stade Paléo-Indien, des périodes initiales et tardives, occupaient le rivage du lac glacial Algonquin et leurs occupations étaient contemporaines à celui-ci, ou encore, ils occupaient des terraces plus anciennes, et abandonnées, à d'autres endroits. Même si la région de la baie Géorgienne et celle de l'est des Terres-Basses de Simcoe étaient occupées intensivement par des autochtones du stade Paléo-Indien de la période initiale, les schèmes d'établissement reconnus dans les deux régions semblent être différents. Les deux gisements connus dans la première région auraient pu servir comme campements centraux, desquels la région entière aurait été exploitée; en contraste, l'occupation de la marge est des Terres-Basses de Simcoe, semble avoir été plus étendue, tel qu'indiquée par la présence de plusieurs petits gisements. Les travaux archéologiques sur les terraces du Lac Algonquin nous révèlent seulement qu'une portion des établissements possibles, et il existe donc un grand besoin de concentrer nos travaux de reconnaissances ailleurs que sur les terraces afin de découvrir l'étendue complète des gisements durant les déplacements saisonniers.