Abstract
Kinship is the primary idiom through which social and political relationships are constructed and maintained in Northern Iroquoian societies. As such, kinship terminology has often been invoked in explanations for organizational changes observed archaeologically. However, if overly generalized models of Iroquoian kinship are employed to explain the archaeological record we risk masking the variable and contingent nature of social relationships as they existed in practice. In this paper I will discuss the historical construction of Iroquoian kinship by cultural anthropologists and how archaeologists have applied the resulting models. I will also explore how the terms matrilineage and clan have been used to describe household and village organization and offer alternative suggestions for how kinship-based relationships might be more productively employed (and not employed) in archaeological interpretations.
Résumé
Chez les sociétés Iroquoiennes du nord, les relations sociales et politiques sont principalement construites et entretenues par l’entremise des liens de parenté. Pour expliquer les changements organisationnels qui sont observés archéologiquement, on fait souvent appel à la terminologie des liens de parenté. Par contre, si on utilise des modèles de liens de parenté iroquoiens trop généralisés pour expliquer le registre archéologique, on risque de masquer la nature variable et contingente des relations sociales telles qu’elles existaient en pratique. Dans cet article, je vais discuter la construction historique des liens de parenté iroquoiens en anthropologie culturelle et comment les modèles résultants ont été appliqués par les archéologues. Je vais aussi explorer comment les termes matrilinéaire et clan ont été utilisés pour décrire l’organisation ménagère et villageoise et alternativement, je suggère comment les relations basées sur les liens de parenté pourraient être plus efficacement employées (et non employées) dans les interprétations archéologiques.