Broadening #MeToo: Tracking Dynamics in Canadian Archaeology Through a Survey on Experiences Within the Discipline

Journal Article

Broadening #MeToo: Tracking Dynamics in Canadian Archaeology Through a Survey on Experiences Within the Discipline

Lisa Hodgetts1, Kisha Supernant2, Natasha Lyons3, and John R. Welch4

Author Affiliations

1Department of Anthropology, Social Science, Centre, The University of Western Ontario, London, ON N6A 5C2, Canada
2Department of Anthropology, 13-15 Tory Building, University of Alberta, Edmonton, AB T6G 2H4, Canada
3Ursus Heritage Consulting, Coldstream, BC V1B 1E3, Canada
4Department of Archaeology, 8888 University Drive, Simon Fraser University, Burnaby, BC V5A 1S6, Canada

Canadian Journal of Archaeology/Journal canadien d'archéologie 44(1):020-047 (2020)
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Abstract

The #MeToo movement has turned global attention to structural power differentials grounded in gender, race, sexual orientation, and other aspects of identity, leading archaeologists to confront injustice in different sectors of our discipline, with a focus on sexual harassment and sexual assault. In 2019, the Canadian Archaeological Association’s Working Group on Equity and Diversity conducted a survey of Canadian archaeologists to identify the extent of both sexualized and non-sexualized forms of discrimination, exploitation, harassment, and violence in our field. Our survey yielded 564 responses from archaeologists representing a wide range of genders, ages, career stages, and sectors. The results indicate a large portion of Canadian archaeologists have had negative experiences in the course of their work and study. This first stage of analysis focuses on demographic trends among survey respondents and noteworthy differences in their experiences based on gender, career stage, and participation in the academic or cultural resource management sector.

Résumé

Le mouvement #MeToo a attiré l’attention mondiale sur les écarts de pouvoir structurels fondés sur le sexe, la race, l’orientation sexuelle et d’autres aspects de l’identité, ce qui a amené les archéologues à faire face à l’injustice dans différents secteurs de notre discipline, en mettant l’accent sur le harcèlement sexuel et les agressions sexuelles. En 2019, le Groupe de travail sur l’équité et la diversité de l’Association archéologique canadienne a mené une enquête auprès d’archéologues canadiens afin d’identifier l’étendue des formes de discrimination, d’exploitation, de harcèlement et de violence sexualisés et non sexualisés dans notre domaine. Notre enquête a reçu 564 réponses d’archéologues représentant un large éventail de sexes, d’âges, de stade de carrière et de secteurs. Les résultats indiquent qu’une grande partie des archéologues canadiens ont eu des expériences négatives au cours de leurs travaux et de leurs études. Cette première étape de l’analyse met l’accent sur les tendances démographiques chez les répondants à l’enquête et les différences notables dans leurs expériences fondées sur le sexe, le stade de carrière et la participation au secteur académique ou de la gestion des ressources culturelles.

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