Abstract
SCAPE is an interdisciplinary research project examining human-environmental interactions of precontact groups in localities exhibiting exceptional physiographic and ecological diversity. While overall ecological diversity has been used to explain the patterns of intense occupation exhibited in these areas, there has been no formal investigation comparing the relative diversity and uniqueness of these landscapes or relative intensity of occupation occurring in these areas with adjacent environments across the Prairie ecozone. This paper presents a GIS-based methodology for quantitatively assessing the diversity and uniqueness of landscapes based on the analysis of geoindicators and the relationship between ecologically diverse and unique landscapes and the occurrence of archaeological sites. Results of these analyses indicate that at least one of the four SCAPE study areas exhibits exceptionally high diversity and uniqueness and that, overall, landscapes scoring in the highest category for combined diversity and uniqueness have significantly higher than expected frequencies of archaeological sites.
Résumé
SCAPE est un projet de recherche interdisciplinaire examinant les interactions humain/environnement des groupes pre-contact dans des localités d'une diversité physiographique et écologique exceptionnelle. Tandis que la diversité écologique globale a été employée pour expliquer les patrons d'occupation intense caractérisant ces secteurs, aucune recherche formelle n'a comparé la diversité et l'unicité relative de ces paysages ou leur intensité d'occupation relative avec celles des environnements voisins dans l'écozone des prairies. Cette recherche présente une méthode de SIG pour évaluer quantitativement la diversité et l'unicité des paysages basées sur l'analyse des géoindicateurs et le rapport entre les paysages écologiquement divers et uniques et l'occurrence de sites archéologiques. Les résultats de ces analyses indiquent qu'au moins un des quatre secteurs d'étude de SCAPE montre une diversité et unicité particulièrement élevées et que dans l'ensemble, les paysages se plaçant dans la catégorie la plus élevée pour la diversité et l'unicité combinées ont des fréquences de sites archéologiques sensiblement plus hautes que prévues.