Abstract
Periodic extinctions of human populations which are well documented in the
archaeological record are examined in the light of the number and nature of
faunal resources available to prehistoric peoples on the Island of Newfoundland.
The principal prey species, both marine and terrestrial, are both limited in number
and because of their migratory habits only seasonally available. During “normal”
times species become available at times during the year which allow human groups
to take advantage of their presence and populations to flourish. Even short term
interruptions of normal availability of a single species, however, can cause
extreme stress upon human populations. The lack of “fall-back” resources within
this simple ecosystem may ultimately have also contributed to the observed
extinctions of human groups.
Résumé
Les extinctions périodiques des populations humaines de Terre-Neuve sont bien
documentées par les archéologues. Dans cet article, les extinctions sont examinées par rapport à la nature et la quantité des ressources fauniques disponibles aux
peuples préhistoriques. Les espèces principales de proie, soit marine soit terrestre,
sont peu nombreux, et, à cause de leurs habitudes de migration, disponibles par
intervalles. Sous les conditions normales, le groupe humain pourrait se profiter de
leur présence et la population s’augmenterait. Neanmoins, une interruption du
cycle annuel normal, même une interruption de courte durée qui implique une
seule espèce faunique, peut mettre sur tension une population humaine. Dans le
système écologique simple de Terre-Neuve, c’est possible que la manque de
ressources alternatives a contribué aux extinctions notées des groupes humains.