Abstract
Sherds from three mid-19th century glassworks in the Como-Hudson area, Québec, were analysed for their major, minor, and selected trace element contents. The compositional data indicate that local sand is insufficiently silicious to have been used in its manufacture, and thus do not support historical evidence to the contrary. Although the major-element compositions of Como and Hudson glass overlap, they differ from some contemporary Ontario wares, particularly with regard to their CaO, Na2O, MgO, and Al2O3 contents. However, the possibility that imported scrap glass (cullet) was used in some early glassworks requires that caution be exercised where the compositions of excavated sherds from factory sites are to be used for provenance studies.
Résumé
Des échantillions de verre provenant de trois vitreries du milieu du 19ième siècle dans la région de Como-Hudson ont été analysés pour leur éléments majeurs et mineurs, ainsi que certains éléments traces. Ces données indiquent que le sable brun local est insuffisament siliceux pour avoir été utilisé dans la manufacture de ces verres. Donc, elles n'appuient pas l'évidence historique du contraire. Bien que le les contenus en éléments majeurs des verres de Como et de Hudson se chevauchent, ils se distinguent par rapport à des vitres d'usines contemporaines de l'Ontario par leur contenu en CaO, Na2O, MgO, and Al2O3. Cependant, la possibilité de la vitre brisée importée ait été utilisée par les vitreries anciennes souligne le fait que des précautions sont de mise quand des échantillions de verre provenant des sites excavés sont considérés pour des études de provenance.