Abstract
Recent, renewed interest in the study of ancient indigenous NWC architecture has done much to augment our understanding of social, political, and economic relations in this region in the past. These studies have, by and large, emphasized architectural form over the practice or process of construction. Yet in other regions of the world, scholars are increasingly examining construction techniques in order comprehend the kinds of decisions that individuals and groups made with respect to building. This paper examines architectural remains from a small Middle Period (ca. 3500–1500 BP) village site in Prince Rupert Harbour, British Columbia, with the explicit intent of shedding light on the kinds of structures that the Tsimshian built in the past and, in particular, the way in which small households constructed domestic dwellings. Results suggest that, in this case, walls were not mortised as they had been in the recent past. Rather, walls appear to have been constructed using a tying and sewing technique. I suggest that this household might have used tying and sewing for a variety of reasons that include household and community size, technology, mobility, and skill.
Résumé
Récemment, en raison de l’intérêt renouvelé pour l’étude de l’architecture autochtone ancienne de la Côte nord-ouest, nous avons grandement accru notre compréhension des relations sociales, politiques et économiques qui existaient autrefois dans cette région. Dans ces études, on a globalement mis l’accent sur la forme architecturale plutôt que sur les procédés de construction. Pourtant, dans d’autres régions du monde, les chercheurs se consacrent à l’étude des techniques de construction afin de pouvoir comprendre quelles décisions les personnes et les groupes ont prises en ce qui a trait à la construction de bâtiments. Dans ce document, l’auteur étudie les restes architecturaux d’un petit village de la période médiane (soit de 3500 à 1500 avant l’ère actuelle) se trouvant dans le port de Prince Rupert (Colombie-Britannique) dans le but précis de faire la lumière sur la façon dont des familles restreintes construisaient leurs habitations. Selon les résultats obtenus, il semble que, dans le cas présent, les murs n’ont pas été bâtis au moyen de mortaises comme cela avait été le cas peu de temps auparavant. Ils semblent plutôt avoir été construits au moyen d’attaches et de coutures. L’auteur croit que cette façon de faire a été utilisée pour diverses raisons dont la taille, la mobilité et l’habilité des familles et de la communauté, ainsi que la technologie dont elles disposaient.
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Le Journal canadien d'archéologie est publiée de l'Association canadienne d'archéologie.
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ISSN: 0705–2006 | ISSN: 2816-2293 (online)