The Other Face of Janus: Research in the Service of Archaeological Resource Management

Journal Article

The Other Face of Janus: Research in the Service of Archaeological Resource Management

Henri T. Epp; Brian F. Spurling
Canadian Journal of Archaeology/Journal canadien d'archéologie 8(1):095-113 (1984)

Abstract

Lately some prominent members of the discipline have criticized applied
archaeology, especially its research standards and low productivity of new knowl-
edge relevant to the interests of academics. More serious, however, has been the
entire descipline’s inability to show concretely the effectiveness of its methods and
the importance of its goals to government and industry. This dilemma seems
resolvable by turning the first problem around to address the second. That is,
archaeologists need to concentrate on how to better manage the resource base and
how to improve the attendant research, be it applied or academic in nature. Such
a change in focus requires a fundamental reorientation. Good impact assessment
or mitigation work must provide information for resource management decision-
making and scientific explanation. Ecology, undergoing many of the same diffi-
culties and adjustments as archaeology, is beginning to reconcile its management
and scientific responsibilities by concentrating on how better research can con-
tribute to improved impact assessments and environmental management. We
would do well to consider ecology’s findings. For it is time for archaeology to
likewise improve its management and scientific services to the public, rather than
continue to use applied research activities only as opportunities to serve itself
within a narrow, academic view of the discipline.

Résumé

Quelques figures importantes dans la discipline ont récemment critique I’archéol-
ogie appliquée, spécialement en ce qui a trait à la qualité de la rechereche et à la
basse productivité des connaissances nouvelles au chapitrê de l’interêt pour les
questions académiques. Cependant, plus sérieuse fut l’inhabiliteé générale de la
discipline à démontrer concrètement au governement et à l’industrie I’importance
de ses objectifs. Ce dilemme paraît resoluble si nous reformulons le premier
problème de façon à nous adresser au deuxième. Ainsi done, les archéologues doi-
vent réfléchir sur la maniére d’améliorer la gestion des ressources de base et com-
ment perfectionner la rechereche concomitante, qu’elle soit de nature appliquée
ou académique. Un tel changement au niveau du centre d’intérêt requière une
réorientation fondamentale des objectifs. Une bonne étude d’évaluation ou d’at-
ténuation de l’impact doit procurer l’information nécessaire à la prise de décision
en ce qui concerne la gestion des ressources et l’élaboration d’explications scienti-
fiques. L’écologie, alors qu’elle subit plusieurs des mêmes difficultés et ajuste-
ments que subit l’archéologie, commence à réconcilier ses responsabilités gestion-
naires et scientifiques en se concentrant sur les moyens par lesquels une recherche
meilleure peut contribuer à l’amélioration des évaluations d’impact et de la
gestion de l’environnement. L’archéologie pourrait bénéficier de l’examen des
decouvertes faites par l’écologie. Car de même, il est temps pour l’archéologie
d’améliorer ses services scientifiques et gestionnaires au public, au lieu de conti-
nuer à utiliser ses activités de recherche appliquée pour la seule fin de satisfaire ses
besoins dans le cadre d’une perspective étroite et académique de la discipline.

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ISSN: 0705-2006 (print)  |  ISSN: 2816-2293 (online)