Proteins and Our Past: An Exploration of Human Bone Protein from the Eighteenth-Century Fortress of Louisbourg, Nova Scotia, and Its Potential Applications in Bioarchaeological Research
https://doi.org/10.51270/47.1.23Abstract
Bioarchaeologists can further investigate human bone metabolism at the biomolecular level by incorporating biochemical methods into their research. Recently, there has been a focus on osteocalcin, an abundant non-collagenous bone protein, because of its clinically identified relationship with biological factors (i.e., age and sex), activity, and pathological conditions (i.e., disease). For this study, osteocalcin was extracted and quantified from the femora of 27 individuals from the Fortress of Louisbourg (1713–1758) skeletal collection to explore if the clinical relationship between osteocalcin and sex, age, activity, and pathological conditions can also be established in archaeological bone. However, no significant relationships between osteocalcin concentrations and biological factors (i.e., age and sex), activity, or pathological conditions were identified. This is the first study to quantify osteocalcin from archaeological human skeletal remains from a Canadian context and provides another example of how this method may be used to study stress in bioarchaeological populations.
Résumé
Les bioarchéologues peuvent investiguer plus en profondeur le métabolisme des os humains à un niveau biomoléculaire en incorporant les méthodes biochimiques dans leur recherche. Récemment, l’accent a été mis sur l’ostéocalcine, une protéine osseuse abondante et non collagène, à cause de sa relation cliniquement identifiée avec les facteurs biologiques (âge et sexe), l’activité et les conditions pathologiques. Dans cette étude, l’ostéocalcine a été extrait et quantifié des fémurs de 27 individus provenant de la collection de squelettes de la Forteresse-de-Louisbourg (1713–1758) afin d’explorer si les tendances cliniques entre l’ostéocalcine et le sexe, l‘âge, les activités et les conditions pathologiques peuvent être également observés dans les os archéologiques. Toutefois, aucune relation significative entre la concentration d’ostéocalcine et les facteurs biologiques (âge et sexe), l’activité ou les conditions pathologiques n’a pu être identifiée. Cette étude est la première à quantifier l’ostéocalcine des restes de squelettes archéologiques humains dans un contexte canadien et procure un autre exemple qui présente comment cette méthode peut être utilisée pour étudier le stress dans les populations bioarchéologiques.
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ISSN: 0705-2006 (print) | ISSN: 2816-2293 (online)